La Méditerranée....
Le Forum de Paris propose la creation d'une police antipollution en Mediterranee :
Le Forum de Paris, qui s'est deroule les 27, 28 et 29 mars a l'Unesco, a Paris, en partenariat avec Le Monde et LCI, a adopte une serie de recommandations afin de repondre "a la degradation de l'environnement et du cadre de vie des Mediterraneens", qui exige "une reponse forte et immediate au niveau institutionnel". "Nous avons deliberement occulte, cette annee, la dimension politique de notre mer, a affirme a la tribune l'historien Elie Barnavi.
Les maux dont souffre la Mediterranee ne peuvent pas attendre le reglement des conflits entre Israel et la Palestine, a Chypre, ou dans le Sahara. Il y a urgence."
Le Forum, une association de reflexion consacree a l'espace mediterraneen, propose la creation d'un sommet des grandes villes riveraines de cet espace afin de "decider des grandes infrastructures qui rendent les villes vivables et durables". Il recommande la creation d'une haute autorite de l'eau, afin d'elaborer des politiques communes, ainsi que mutualiser la recherche et le financement des investissements.
Pour proteger la mer, l'association suggere une "police antipollution" dotee de moyens operationnels d'intervention et de competences repressives, qui pourrait etre financee par une taxe de passage en Mediterranee acquittee par les usagers et les amendes infligees aux fraudeurs.
Le Forum se dit "convaincu de la pertinence de l'Union pour la Mediterranee", projet de cooperation regionale lance en juillet 2008, axe sur des projets concrets, mais regrette son "enlisement" dans "les faux pretextes politiques traditionnels" et demande "l'achevement de (sa) construction institutionnelle dans les plus brefs delais".
Euroméditerranée : Vers un réseau de développement de l'innovation

Pierre Laffitte, fondateur et président de Sophia Antipolis, sénateur honoraire. © Flickr Pour favoriser la coopération entre les membres de l'Union pour la Méditerranée en matière d'innovation, Nicolas Sarkozy a chargé Pierre Laffitte, fondateur et président de Sophia Antipolis, de créer un réseau de développement de l'innovation en Euroméditerrannée. L'ambition est notamment de faire émerger des projets de développement durable. Le Réseau Innovation Euromed « correspondra à un élément moteur essentiel de l'Union pour la Méditerranée » a déclaré Pierre Laffitte, cité par SophiaNet. Le fondateur et président de Sophia Antipolis et sénateur honoraire, vient de se voir confié, par Nicolas Sarkozy, la création d'un réseau de développement de l'innovation en Euroméditerrannée. Cette mission de deux ans s'inscrit dans la politique de soutien à l'innovation comme vecteur de croissance et de compétitivité, voulue par le Président de la République et la Commission européenne.
Favoriser la coopération pour le développement durable
En s'appuyant sur la dynamique des pôles, l'objectif est de favoriser l'émergence de projets axés sur le développement durable. L'idée est de développer la coopération et les interactions entre les membres de l'Union pour la Méditerranée, notamment par le renforcement des liens internationaux, par une plus grande implication des acteurs financiers ou par le développement de partenariats. Dans la lettre de mission adressée à Pierre Laffitte, début janvier, Nicolas Sarkozy précise « Il s'agira d'aider à la création de nouveaux pôles en Méditerranée autour des axes prioritaires » comme la dépollution de la Méditerranée ou le plan solaire méditerranéen, en « favorisant par exemple la formation aux métiers de l'animation des clusters. » 18 février 2009, Elsa Bellanger
Pôle Mer Paca : Feu vert pour trois projets

Trois projets du Pôle Mer PACA seront soutenus financièrement au titre du 7ème appel à projets « pôles de compétitivité » du Fonds Unique Interministériel. Trois nouveaux projets du Pôle Mer PACA, ont été retenus dans le cadre du 7ème appel à projets « pôles de compétitivité ». Parmi ces projets, ATOS, monté avec le Pôle Mer de Bretagne qui touche à la sécurité maritime et à la surveillance sismique. Un projet porté par Thales Underwater Systems, dont le budget a été évalué à 4 M€.
Trois nouveaux projets, sur les neuf proposés par le Pôle Mer PACA, ont été retenus au 7ème appel à projets « pôles de compétitivité » du Fonds Unique Interministériel, et bénéficieront donc d'un cofinancement. Des résultats portant ainsi à 66 le nombre de projets assurés d'un financement sur 101 déjà labellisés.
Parmi ceux-là figure ATOS, colabellisé par les Pôles Mer Paca et Bretagne. Il vise à la réalisation d'une antenne acoustique sous-marine en technologie tout optique destinée à la sécurité maritime et à la surveillance sismique. Un projet porté par Thales Underwater Systems, dont le budget a été évalué à 4 M€.
2ème projet retenu et labellisé pôle mer Paca, SISMARIS, pour Système d'Information et de Surveillance MARitime pour l'Identification des comportements Suspects. Sa vocation : pister tous les types de navires en permanence jusqu'à 400 km des côtes (contre 24 km avec les systèmes actuels les plus avancés dans le monde). SISMARIS prendra corps à l'horizon 2011 avec la mise en place progressive, à Saint-Mandrier et dans les îles du Levant, d'une plate-forme de démonstration permettant de surveiller une grande partie de la Méditerranée occidentale, bien au-delà des eaux nationales. Le porteur de ce projet est la DCNS. Le budget, quant à lui, se chiffre à 6,8M€.
Enfin, AIRCLAIR, colabellisé par les Pôles Mer PACA et Capénergies, vise à l'Amélioration de l'Impact environnemental et à la Réduction de Consommation des moteurs à fuel Lourd, par l'Analyse Infra Rouge. Le principe : associer de nouveaux capteurs miniatures à des logiciels capables d'analyser la qualité du carburant, en continu à l'entrée du moteur, et de modifier instantanément ses réglages. Ce pour maîtriser les émissions de gaz à effet de serre. Porté par la société CMR (Contrôle Mesure Régulation), ce projet devrait nécessiter quelque 3,7M€
17 mars 2009, Carole Signes.
1 mai : Euromed : Bruxelles délaye l'"Union pour la Méditerranée"

Nicolas Sarkozy pourrait co-présider à partir de juillet l'Union pour la Méditerranée avec l'Egyptien Hosni Moubarak. Mais pour six mois seulement. © Elysée Initiée par Nicolas Sarkozy pour remplacer un « processus de Barcelone » incapable de stimuler les relations euro-méditerranéennes, l'« Union pour la Méditerranée » (UPM), contestée par plusieurs Etats européens, ne sera finalement qu'un « Barcelone amélioré », centré sur un petit nombre de projets concrets. Ainsi en a décidé hier la Commission européenne, qui remet par ailleurs en cause l'ambition de la France d'accéder à la co-présidence de l'UPM lors de son lancement officiel, en juillet. Dépolluer la Méditerranée, créer des autoroutes de la mer entre ses deux rives, promouvoir l'utilisation de l'énergie solaire dans les pays de la zone Meda(1), renforcer la coopération en matière de protection civile entre le Nord et le Sud... Tels sont, selon la Commission européenne qui s'exprimait hier sur ce sujet, les projets prioritaires autour desquels doit se construire le nouveau partenariat euro-méditerranéen : l'Union pour la Méditerranée (UPM).
Initiée par Nicolas Sarkozy pour remplacer le Processus de Barcelone, l'UPM sera officiellement lancée à Paris lors du sommet européen des 13 et 14 juillet.
Mais la volonté du Chef de l'Etat français d'en assurer d'emblée la co-présidence est remise en cause par Bruxelles.
En effet, si la Commission admet qu'un siège de cette présidence bicéphale de l'UPM doit revenir à un Etat du Sud de la Méditerranée - l'Egypte fait figure de favorite -, elle a souligné hier que, à partir du 1er janvier 2009, date d'entrée en vigueur du traité de Lisbonne, seul le président du Conseil européen ou celui de la Commission pourront représenter l'Europe à l'étranger.
La co-présidence de l'UPM par la France, qu'elle obtiendra de facto en prenant la tête de l'Union européenne en juillet, ne durera donc au mieux que six mois.
"Barcelone" n'a pas créé de partenariat
Il s'agit d'un nouveau camouflet pour le président de la République, qui a déjà dû renoncer en mars, sous la pression allemande, à l'idée de réserver son partenariat euro-méditerranéen aux 22 pays riverains de la grande bleue.
Le Chef de l'Etat voit donc peu à peu son « grand rêve capable de sauver le monde » s'évanouir au profit d'une simple relance du « Processus de Barcelone ».
C'est ce qu'a rappelé hier la Commission, pour qui l'UPM ne peut se substituer au processus lancé en 1995 dans la métropole catalane pour construire entre les deux rives de la Méditerranée une zone de stabilité et de prospérité partagée.
Le bilan de « Barcelone » est pourtant très mitigé. « Les conflits en Palestine, au Liban et au Sahara occidental perdurent, les investissements européens dans le Sud sont insuffisants et le fossé se creuse entre les deux rives de la Méditerranée. Plus grave : nous n'avons pas réussi à construire un véritable partenariat avec nos voisins », juge Francisco Villar y Ortiz de Urbina, ambassadeur d'Espagne en France, à l'occasion d'un séminaire sur l'Union méditerranéenne organisé hier par l'ADAPes(2).
Un projet rejeté aussi par l'Espagne
Pourtant, malgré ce bilan peu flatteur de « Barcelone », la France n'a pas su convaincre ses partenaires de la pertinence d'une nouvelle organisation euro-méditerranéenne.
Côté européen, les Allemands ont dès le début combattu un projet qui risquait de les exclure d'un marché de 280 millions de consommateurs potentiels, avec le soutien des nouveaux entrants de l'Union, qui privilégient pour leur part les échanges avec l'Est de l'Europe.
Mais le projet du Chef de l'Etat n'a pas non plus trouvé grâce aux yeux des Etats européens riverains de la Méditerranée, comme le rappelle l'ambassadeur d'Espagne en France : « nous avons toujours pensé que les défis de la Méditerranée ne se posent pas uniquement aux Etats riverains, mais qu'ils concernent toute l'Union. Le bon fonctionnement d'un partenariat euro-méditerranéen implique donc la participation de tous les membres de l'Europe, ainsi que de la Commission. »
L'Algérie ne veut pas siéger aux côtés d'Israël
Côté Sud, l'Union méditerranéenne n'a pas non plus transcendé les foules.
Et si l'ambassadeur d'Algérie Missoum Sbih, présent hier au séminaire de l'ADAPes, assure que « l'Algérie avait un préjugé favorable à l'encontre du projet initial du Président français », il omet de mentionner que son pays rejette toujours catégoriquement l'idée de siéger aux côtés d'Israël au sein d'une organisation euro-méditerranéenne.
L'union effective entre les Etats d'Europe et de Méditerranée n'est donc pour l'instant qu'un rêve inaccessible.
Et pourtant, comme le rappelle Emile Malet, directeur de la revue Passage et de l'ADAPes, « devant l'émergence de géants en Asie, et l'affirmation de grandes entités régionales en Amérique, l'avenir de l'Europe passe par son intégration dans un vaste ensemble méditerranéen, capable de peser davantage sur la scène internationale. »
31 décembre 2008, William Bolle (1) Meda : Pays du Sud de la Méditerranée et du Proche-Orient (2) ADAPes : Association des amis de la revue Passage
Union pour la Méditerranée : Mobilisation pour la biodiversité

Bien que ne représentant que 0.8% de la surface des mers et océans, la Méditerranée constitue un des réservoirs mondiaux de la biodiversité marine et côtière ©Nasa Les pays de l'Union pour la Méditerranée ont décidé de donner un nouvel élan au sauvetage de la biodiversité de leurs zones côtières. Objectif : promouvoir une gestion durable pour garantir le maintien de la richesse écologique et culturelle méditerranéennes. Près d'une vingtaine de représentants de pays de l'UE et de la Méditerranée se sont retrouvés à Nice pour lancer un nouveau processus. Reconnue comme l'un des 25 « points chauds » de la biodiversité mondiale (regroupant 28 % des espèces endémiques connues), la mer Méditerranée est en danger. Les représentants d'une trentaine de pays Méditerranéens et de l'Union européenne se sont retrouvés les 18 et 19 décembre à Nice pour tenter de mieux protéger la richesse écologique et culturelle de leurs zones côtières.
« Cette réunion, qui constitue le premier engagement de l'Union pour la Méditerranée en faveur de la biodiversité, traduit l'importance que la France attache au patrimoine naturel méditerranéen, en cohérence avec les engagements du Grenelle Environnement », a souligné Jean-Louis Borloo, ministre de l'Ecologie, de l'Energie, du Développement durable et de l'Aménagement du Territoire. L'ambition de cet événement, organisé par le Meedat dans le cadre de la Présidence française de l'Union européenne et de l'Union pour la Méditerranée : lancer un processus qui permettra la mise en place d'une gestion durable des côtes et du milieu marin afin de garantir le maintien de leur richesse écologique et culturelle.
Vingt millions d'habitants supplémentaires
La mise en œuvre du Protocole de gestion intégrée des zones côtières, signé le 21 janvier dernier par 14 des 22 parties de la convention de Barcelone, serait la clé de voûte des futurs actions qui seront lancées. Le gouvernement français, l'un des signataires, a indiqué sa volonté de procéder à sa ratification d'ici à l'été 2009. Il y a urgence. Selon le Plan Bleu, observatoire de l'environnement et du développement durable en Méditerranée (au sein du Programme des Nations Unies pour l'environnement et du Plan d'Action pour la Méditerranée), la population côtière devrait gagner 20 millions d'habitants supplémentaires et les flux touristiques devraient doubler, d'ici 2025.
Jean-Louis Borloo a rappelé que le Meedat a commencé à engager plusieurs actions concrètes en faveur de la protection du patrimoine méditerranéen, comme le projet de parc national des Calanques, dont la prise en considération par le Premier Ministre est prévue pour le début de l'année 2009, et le soutien apporté au réseau des gestionnaires d'aires marines protégées en Méditerranée (MedPAN), dont le siège est désormais accueilli à Hyères et le secrétariat permanent majoritairement financé par la France.
29 décembre 2008, Patrick Cros
Union pour la Méditerranée : Le solaire restera-t-il en plan ?

Le « Plan solaire » doit permettre à l'Europe d'importer massivement de l'électricité solaire du Sahara © Flickr Parmi les six grandes initiatives de l'Union pour la Méditerranée (UPM), figure la mise en place d'un « Plan solaire », qui concerne en fait le développement de toutes les énergies renouvelables en Méditerranée. En plus du soutien à des projets emblématiques, comme le raccordement de l'Europe à d'immenses « fermes solaires » sahariennes, ce plan tentera de généraliser les bonnes pratiques en matière d'efficacité énergétique. Mais les interrogations demeurent sur son financement. Lancée en grande pompe le 13 juillet à Paris, l'Union pour la Méditerranée (UPM) devrait prendre corps dans les mois qui viennent autour de six initiatives clés(1), l'une d'elles étant la mise en place d'un « Plan solaire méditerranéen ».
Objectif de ce dernier : faire aboutir un certain nombre de projets de mise en valeur du formidable potentiel solaire des pays du Sud de la Méditerranée (1 % de la surface du Sahara suffirait à satisfaire la demande mondiale en électricité).
L'un des programme les plus avancés en la matière est « Desertec ». Initié par l'Allemagne et l'Algérie, ce projet vise à raccorder l'Europe à de vastes centrales solaires implantées dans le désert, via des câbles sous-marins.
Sahara : 100 GW de solaire en 2050
Ces « fermes solaires », qui pourraient produire 100 GW à l'horizon 2050, seraient pour l'essentiel des centrales fonctionnant selon le procédé dit « thermodynamique ». Une technologie qui repose sur le déploiement de miroirs qui « concentrent les rayons du soleil pour chauffer un fluide et le transformer en vapeur. Cette dernière peut servir soit à produire de l'électricité en actionnant des turbines, soit à dessaler de l'eau », explique Noémie Zambeaux, chargée de mission Afrique du Nord/ Moyen Orient à l'Ademe.
L'Ademe contribue depuis des années au développement des énergies renouvelables en Méditerranée, notamment au sein du réseau des agences méditerranéennes de maîtrise de l'énergie, « Medener », qui prône l'échange interrégional de savoir-faire et de bonnes pratiques.
L'association Medener s'est dite prête à mettre son expertise au service de la mise en œuvre du plan solaire de l'UPM, qui porte d'ailleurs mal son nom. La déclaration du Sommet de Paris du 13 juillet évoque en effet à son propos « la commercialisation de toutes les énergies de substitution. »
Les caisses des dépôts françaises et italiennes apportent 600 millions d'euros
Selon Dominique Campana, directrice de l'action internationale de l'Ademe, « le plan de l'UPM concerne en fait l'ensemble des énergies renouvelables, ainsi que l'amélioration de l'efficacité énergétique des pays du Sud. Le solaire est simplement le volet le plus abouti et le plus visible d'un plan qui doit faire émerger des grands projets dans de nombreux domaines, impulser une dynamique et mobiliser des financements nouveaux. »
Dans l'attente de la désignation en novembre du secrétariat général de l'UPM, qui donnera un contours et des objectifs précis au plan solaire, le financement de ce dernier est purement conjecturel.
La Banque européenne d'investissement (BEI) mettra évidemment la main à la poche, et des fonds des pays du Golfe ont déjà fait part de leur intérêt. La Caisse des dépôts (CDC) et la Cassa depositi e prestiti (CDP) italienne ont pour leur part annoncé la création du fonds « Inframed », qui doit réunir 600 millions d'euros pour financer les projets d'énergie, d'infrastructures et de transports portés par l'UPM.
Quand on sait que le coût de la mise en place d'un réseau d'électricité verte entre les deux rives de la Méditerranée a été évalué à quelque 50 milliards d'euros, on est loin du compte.
L'électricité du Sahara dans les mécanismes de Kyoto
Mais « tout ne coûtera pas forcément cher. A côté des grands projets emblématiques, le plan vise surtout à généraliser des bonnes pratiques, par exemple en matière d'efficacité énergétique des bâtiments, ou d'architecture bioclimatique, qui n'ont rien d'onéreux », rappelle Noémie Zambeaux.
A plus ou moins long terme, le plan solaire aura d'ailleurs d'importantes retombées économiques pour l'ensemble des partenaires. Il permettra en effet aux pays du Nord et du Sud de réduire leur dépendance à l'égard de combustibles fossiles dont les prix flambent.
Il offrira aussi la possibilité aux membres de l'UE « d'inclure les importations d'électricité « verte » de Méditerranée dans les efforts accomplis en vue d'atteindre les objectifs du Protocole de Kyoto », précise Dominique Campana.
Enfin, « pour les pays du Sud, les enjeux sont considérables en termes de progrès social, puisque les énergies renouvelables doivent permettre de raccorder au réseau électrique les communautés les plus isolées », ajoute Noémie Zambeaux
28 juillet 2008, William Bolle (1) Dépollution de la Méditerranée, autoroutes maritimes, protection civile, université euro-méditerranéenne, développement des affaires, plan solaire.
AUTRES
D'autres informations sur le site partenaire ECOMED21